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Dès 3600 avant JC, à l’époque des pharaons en Egypte, l’abeille était élevée pour la production de miel et de cire. Jusqu’au Moyen-Âge, le miel apportait sa douceur aux aliments, car le sucre rafiné n’existait pas encore. Aujourd’hui, le miel a une place de choix, puisque plus de 75% de la population française en consomme régulièrement.
Les abeilles au cœur du processus
Tout commence lorsque les abeilles butinent les fleurs à la recherche de nectar. Ce liquide sucré est stocké dans leur jabot (poche d’attente située au début du tube digestif), où il subit une transformation enzymatique. De retour à la ruche, les abeilles transmettent le nectar aux ouvrières grâce à leur langue ou proboscis, favorisant l’enrichissement en enzymes et matières spécifiques. Ensuite, le nectar est déposé dans les alvéoles de cire de la ruche, où il est partiellement déshydraté grâce à l’évaporation et c’est ainsi que le miel est créé !
Une composition aux multiples bienfaits
Le miel est une substance naturelle complexe composée principalement de sucres (environ 80 %), d’eau (entre 15 et 20 %) et de protéines (environ 3 %). Sa composition peut varier en fonction de la source florale et de l’environnement dans lequel les abeilles butinent. Il peut être une alternative intéressante au sucre raffiné.
Le savoir-faire de l’apiculteur·rice indispensable
Sans le travail de l’apiculteur·rice, le miel n’arriverait jamais sur nos tables ! Très polyvalent·es, ils/elles prennent soin des ruches et les protègent contre les parasites et les maladies. Ils/elles ont également de solides connaissances sur les plantes qui constituent la ressource des abeilles. Enfin, ils/elles sont équipé·es et expérimenté·es pour récolter le miel, le mettre en pot et le commercialiser !
De la ruche à la table, le secret, c’est la complémentarité entre le travail des abeilles et des apiculteur·rices !